Тренировочный вариант Яндекс.ЕГЭ по французскому языку № 9 за 2016 год

A. Drowning Pool perd son chanteur

Dave Williams, chanteur du groupe de néo-métal Drow-ning Pool, est mort jeudi après-midi à bord de l'autobus utilisé par les musiciens pour les tournées. Agé de 30 ans, Dave Williams, surnommé Stage (du fait de sa surexcitation durant les concerts), était le leader de ce groupe texan dont le premier album, Sinner, est sorti en juillet 2001. On ne connaît pas encore les causes du décès.

B. Le temps aujourd'hui et demain

Samedi 17: le ciel se couvrira en Bretagne et il pleuvra faiblement. Sur la Normandie et les Pays de Loire le ciel se voilera dans l'après-midi. Sur le relief des Alpes et des Pyrénées quelques orages éclateront en fin d'après-midi. Sur les autres régions le temps sera beau et très chaud.

C. Flessel, une pastille de trop

La double championne olympique d'escrime a été contrôlée positive: elle aurait pris un stimulant sans savoir qu'il figurait parmi les produits dopants. L'affaire coïncide avec l'ouverture, à Lisbonne, du championnat du monde.

D. Désir de Tapies

Le musée Picasso d'Antibes propose, à travers une soixantaine d'œuvres du plasticien catalan, une passionnante réflexion sur le corps et la chair.

E. Un analyste viré avec 32 millions de dollars

Jack Grubman, analyste vedette de la banque Salomon Smith Barney a «démissionné» jeudi après ses évaluations peu fiables sur WorldCom, aujourd'hui en faillite. Il va néanmoins toucher 32 millions de dollars de sa firme. Outre les indemnités de départ (1,2 million de dollars), Salomon Smith Barney a accepté d'effacer un prêt de 19 millions accordé à l'analyste en 1998. Celui-ci va aussi récupérer 12 millions sous forme d'actions et de stock-options et conservera 15 millions touchés à son arrivée en 1998.

F. Nigeria: des femmes contre l'exploitation pétrolière

La compagnie pétrolière américaine Chevron Texaco a fermé une de ses exploitations dans le sud-ouest du Nigeria à la suite d'une nouvelle action de protestation de femmes. Elles réclament des emplois, des investissements et des infrastructures pour leur communauté.

G. L ’info à chaud, en direct et en priorité sur Europe 1.

Servie toute fraîche, par des journalistes réactifs. Du direct et des interviews, en majorité. Des grands reporters qui connaissent leur métier. L’info est racontée, expliquée et commentée. Voilà ce qui fait sa différence, sa marque de fabrique.

(A) ________, le maire, Armel Jalu, a remis la première médaille avec le logo de la commune à son créateur, Olivier Ramaré. «(B) ________ sur tout ce qui caractérise Le Crouais: l'église, les terrains agricoles, le nouveau lotissement. J'avais déjà une idée en tête», explique-t-il. Par la suite, il a réalisé le graphisme. Sous l'écriture, la couleur marron représente la terre agricole et le soleil reflète la joie de vivre dans la commune. (C) ________, l'église et une maison montrent son développement. Pour le concours, une cinquantaine de propositions ont été faites. (D) ________ administratives pour approuver le logo. (E) ________ de communication de la commune: les papiers à en-tête, les enveloppes, sur Internet, sur les médailles communales. «(F) ________, pour bien identifier notre commune lors de matchs de foot à l'extérieur», conclut Armel Jalu.

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.- L. Courier «Lettres»

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.- L. Courier «Lettres»

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.- L. Courier «Lettres»

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.- L. Courier «Lettres»

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.- L. Courier «Lettres»

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.- L. Courier «Lettres»

Un officier de l'armée de Napoléon 1^er décrit dans une lettre son voyage en Italie.

Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de gens qui, je crois, n'aiment personne, et surtout les Français. J'avais pour compagnon un jeune homme de vingt ans.

Dans ces montagnes, les chemins sont rudes. Nos chevaux marchaient lentement. Mon camarade allait devant; un sentier qui lui parut plus court nous égara. Il faisait nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes. Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme mangeait et buvait tranquillement; moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers, mais la maison ressemblait à un arsenal. Partout des fusils, des pistolets, des couteaux.

Mon camarade riait et causait avec tout le monde et, par imprudence il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Français, chez nos plus mortels ennemis, seuls, si loin de tout secours humain! Enfin il parla de sa valise, priant qu'on la mît sous son oreiller. Après le souper, on nous laissa; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre du premier étage. Une petite pièce sous le toit où l'on montait par une échelle. Sous le plafond étaient suspendues les provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, se coucha, la tête sur sa valise et s'endormit aussitôt. Moi, décidé à veiller, je fis un bon feu, et m'assis auprès. La nuit était déjà presque passée quand j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer. En écoutant attentivement, j'entendis ces mots du mari:

‒ Eh bien! voyons, faut-il les tuer tous les deux? A quoi la femme répondit:

‒ Oui.

Que vous dirai-je? Tout mon corps était froid, je ne savais si j'étais mort ou vivant. Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était pas haute, mais en bas deux gros chiens hurlaient comme des loups.

Quelques minutes après, j’entendis dans l’escalier quelqu’un et je vis le mari, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, disait à voix basse:

‒ Doucement, va doucement!

Puis il entre, son couteau dans les dents, et venu à la hauteur du lit, où le pauvre jeune homme était étendu, d’une main prend son couteau, et de l’autre ... Ah! ... il saisit un jambon qui pendait au plafond, en coupe un morceau et se retire comme il était venu.

Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous réveiller; on apporte à manger, un déjeuner fort bon. Deux coqs en faisaient partie, dont il fallait, dit la vielle femme, emporter l’un et manger l’autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ses terribles mots: «Faut-il les tuer tous les deux?» D’après P.-L. Courier «Lettres»

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9) La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! (11) Se protéger est essentiel. (12) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (13) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) ________ dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9) La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! Se protéger est essentiel. (11) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (12) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) ________ dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9 )La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! Se protéger est essentiel. (11) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (12) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) ________ dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9) La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! Se protéger est essentiel. (11) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (12) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) ________ dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9) La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! Se protéger est essentiel. (11) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (12) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9) La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! (11) Se protéger est essentiel. (12) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (13) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) Les habitants de l’Hexagone ne (SE PROTÉGER) ________ pas beaucoup du soleil et ils ont tort. (2) Connais-tu les risques liés au soleil et ce qu’il (FALLOIR) ________ faire pour s’en protéger? (3) Une étude (MENER) dans sept pays de l’Union européenne. (4) Les Français, s’ils (SAVOIR) ________ que s’exposer aux rayons de soleil entre 12h et 16h est dangereux, ne se protègent pas beaucoup. (5) Un peu moins de sept de tes compatriotes sur dix se tartinent de crème solaire, contre huit Italiens sur dix par exemple. (6) Enfin, les hommes sont les plus mauvais élèves ... (7) Plus de six sur dix pensent que le soleil n’est pas dangereux si le ciel est nuageux. (8) Ce qui est totalement faux! (9) La moitié des hommes (CONSIDÉRER) ________ aussi qu’il n’y a pas besoin de crème au printemps, pensant que le soleil attaque (PEU) ________ la peau. (10) Encore faux! (11) Se protéger est essentiel. (12) N’oublie jamais de mettre de la crème solaire et un chapeau. (13) Ainsi, tu n’auras pas de coup de soleil et ton bronzage (DURER) ________ plus longtemps.

(1) La star américaine, en lice pour l'Oscar du (BON) ________ acteur pour The Revenant, va adapter au cinéma le roman de science-fiction The Sandcastle Empire de l'écrivaine Kayla Olson. (2) Les changements climatiques sont au centre de l'intrigue.

(3) Leonardo DiCaprio prouve une (NOUVEAU) ________ fois que la cause environnementale lui tient à cœur. (4) Très (ENGAGER) ________ dans la défense de la planète, l'acteur va s'attaquer à la production d'un film postapocalyptique adapté du roman fantastique The Sandcastle Empire (ECRIRE) ________ par Kayla Olson. (5) Une information relayée par The Hollywood Reporter. (6) Le film sera destiné à un public adolescent, voire post-adolescent.

(7) Le script est simple, et s'inscrit dans la lignée de longs-métrages lanceurs d'alerte tels Silent Running (1972), Soleil vert (1973), la fable futuriste animée Wall-e (2008), ou encore La Route (2009) de John Hillcoat, d'après Cormac McCarthy. (8) En 2049, Eden est une jeune fille qui doit survivre sur une Terre à l'agonie, rongée par les dérèglements climatiques et la surpopulation. (9) Aux éléments (NATURE) ________ en déroute s'ajoutent une intrigue plus humaine. (10) L'adolescente doit combattre un groupuscule d'humains, le Wolfpack, qui s'est emparé du pouvoir à la faveur d'un coup d'État. (11) Une mission perturbée par la découverte d'indices susceptibles de lui apporter des réponses sur la (DISPARAÎTRE) ________ de son père.

D'après www.lefigaro.fr

(1) La star américaine, en lice pour l'Oscar du (BON) ________ acteur pour The Revenant, va adapter au cinéma le roman de science-fiction The Sandcastle Empire de l'écrivaine Kayla Olson. (2) Les changements climatiques sont au centre de l'intrigue.

(3) Leonardo DiCaprio prouve une (NOUVEAU) ________ fois que la cause environnementale lui tient à cœur. (4) Très (ENGAGER) ________ dans la défense de la planète, l'acteur va s'attaquer à la production d'un film postapocalyptique adapté du roman fantastique The Sandcastle Empire (ECRIRE) ________ par Kayla Olson. (5) Une information relayée par The Hollywood Reporter. (6) Le film sera destiné à un public adolescent, voire post-adolescent.

(7) Le script est simple, et s'inscrit dans la lignée de longs-métrages lanceurs d'alerte tels Silent Running (1972), Soleil vert (1973), la fable futuriste animée Wall-e (2008), ou encore La Route (2009) de John Hillcoat, d'après Cormac McCarthy. (8) En 2049, Eden est une jeune fille qui doit survivre sur une Terre à l'agonie, rongée par les dérèglements climatiques et la surpopulation. (9) Aux éléments (NATURE) ________ en déroute s'ajoutent une intrigue plus humaine. (10) L'adolescente doit combattre un groupuscule d'humains, le Wolfpack, qui s'est emparé du pouvoir à la faveur d'un coup d'État. (11) Une mission perturbée par la découverte d'indices susceptibles de lui apporter des réponses sur la (DISPARAÎTRE) ________ de son père.

D'après www.lefigaro.fr

(1) La star américaine, en lice pour l'Oscar du (BON) ________ acteur pour The Revenant, va adapter au cinéma le roman de science-fiction The Sandcastle Empire de l'écrivaine Kayla Olson. (2) Les changements climatiques sont au centre de l'intrigue.

(3) Leonardo DiCaprio prouve une (NOUVEAU) ________ fois que la cause environnementale lui tient à cœur. (4) Très (ENGAGER) ________ dans la défense de la planète, l'acteur va s'attaquer à la production d'un film postapocalyptique adapté du roman fantastique The Sandcastle Empire (ECRIRE) ________ par Kayla Olson. (5) Une information relayée par The Hollywood Reporter. (6) Le film sera destiné à un public adolescent, voire post-adolescent.

(7) Le script est simple, et s'inscrit dans la lignée de longs-métrages lanceurs d'alerte tels Silent Running (1972), Soleil vert (1973), la fable futuriste animée Wall-e (2008), ou encore La Route (2009) de John Hillcoat, d'après Cormac McCarthy. (8) En 2049, Eden est une jeune fille qui doit survivre sur une Terre à l'agonie, rongée par les dérèglements climatiques et la surpopulation. (9) Aux éléments (NATURE) ________ en déroute s'ajoutent une intrigue plus humaine. (10) L'adolescente doit combattre un groupuscule d'humains, le Wolfpack, qui s'est emparé du pouvoir à la faveur d'un coup d'État. (11) Une mission perturbée par la découverte d'indices susceptibles de lui apporter des réponses sur la (DISPARAÎTRE) ________ de son père.

D'après www.lefigaro.fr

(1) La star américaine, en lice pour l'Oscar du (BON)________ acteur pour The Revenant, va adapter au cinéma le roman de science-fiction The Sandcastle Empire de l'écrivaine Kayla Olson. (2) Les changements climatiques sont au centre de l'intrigue.

(3) Leonardo DiCaprio prouve une (NOUVEAU)________ fois que la cause environnementale lui tient à cœur. (4) Très (ENGAGER)________ dans la défense de la planète, l'acteur va s'attaquer à la production d'un film postapocalyptique adapté du roman fantastique The Sandcastle Empire (ECRIRE)________ par Kayla Olson. (5) Une information relayée par The Hollywood Reporter. (6) Le film sera destiné à un public adolescent, voire post-adolescent.

(7) Le script est simple, et s'inscrit dans la lignée de longs-métrages lanceurs d'alerte tels Silent Running (1972), Soleil vert (1973), la fable futuriste animée Wall-e (2008), ou encore La Route (2009) de John Hillcoat, d'après Cormac McCarthy. (8) En 2049, Eden est une jeune fille qui doit survivre sur une Terre à l'agonie, rongée par les dérèglements climatiques et la surpopulation. (9) Aux éléments (NATURE)________ en déroute s'ajoutent une intrigue plus humaine. (10) L'adolescente doit combattre un groupuscule d'humains, le Wolfpack, qui s'est emparé du pouvoir à la faveur d'un coup d'État. (11) Une mission perturbée par la découverte d'indices susceptibles de lui apporter des réponses sur la (DISPARAÎTRE)________ de son père.

D'après www.lefigaro.fr

(1) La star américaine, en lice pour l'Oscar du (BON) ________ acteur pour The Revenant, va adapter au cinéma le roman de science-fiction The Sandcastle Empire de l'écrivaine Kayla Olson. (2) Les changements climatiques sont au centre de l'intrigue.

(3) Leonardo DiCaprio prouve une (NOUVEAU) ________ fois que la cause environnementale lui tient à cœur. (4) Très (ENGAGER) ________ dans la défense de la planète, l'acteur va s'attaquer à la production d'un film postapocalyptique adapté du roman fantastique The Sandcastle Empire (ECRIRE) ________ par Kayla Olson. (5) Une information relayée par The Hollywood Reporter. (6) Le film sera destiné à un public adolescent, voire post-adolescent.

(7) Le script est simple, et s'inscrit dans la lignée de longs-métrages lanceurs d'alerte tels Silent Running (1972), Soleil vert (1973), la fable futuriste animée Wall-e (2008), ou encore La Route (2009) de John Hillcoat, d'après Cormac McCarthy. (8) En 2049, Eden est une jeune fille qui doit survivre sur une Terre à l'agonie, rongée par les dérèglements climatiques et la surpopulation. (9) Aux éléments (NATURE) ________ en déroute s'ajoutent une intrigue plus humaine. (10) L'adolescente doit combattre un groupuscule d'humains, le Wolfpack, qui s'est emparé du pouvoir à la faveur d'un coup d'État. (11) Une mission perturbée par la découverte d'indices susceptibles de lui apporter des réponses sur la (DISPARAÎTRE) ________ de son père.

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(1) La star américaine, en lice pour l'Oscar du (BON) ________ acteur pour The Revenant, va adapter au cinéma le roman de science-fiction The Sandcastle Empire de l'écrivaine Kayla Olson. (2) Les changements climatiques sont au centre de l'intrigue.

(3) Leonardo DiCaprio prouve une (NOUVEAU) ________ fois que la cause environnementale lui tient à cœur. (4) Très (ENGAGER) ________ dans la défense de la planète, l'acteur va s'attaquer à la production d'un film postapocalyptique adapté du roman fantastique The Sandcastle Empire (ECRIRE) ________ par Kayla Olson. (5) Une information relayée par The Hollywood Reporter. (6) Le film sera destiné à un public adolescent, voire post-adolescent.

(7) Le script est simple, et s'inscrit dans la lignée de longs-métrages lanceurs d'alerte tels Silent Running (1972), Soleil vert (1973), la fable futuriste animée Wall-e (2008), ou encore La Route (2009) de John Hillcoat, d'après Cormac McCarthy. (8) En 2049, Eden est une jeune fille qui doit survivre sur une Terre à l'agonie, rongée par les dérèglements climatiques et la surpopulation. (9) Aux éléments (NATURE) ________ en déroute s'ajoutent une intrigue plus humaine. (10) L'adolescente doit combattre un groupuscule d'humains, le Wolfpack, qui s'est emparé du pouvoir à la faveur d'un coup d'État. (11) Une mission perturbée par la découverte d'indices susceptibles de lui apporter des réponses sur la (DISPARAÎTRE) ________ de son père.

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Une nuit dans le train Rodez-Paris pour rallier la plateforme de Roissy Charles-deGaulle qui accueille depuis quelques jours à peine la nouvelle star de l'aviation civile, j'ai nommé l'A380. À l'aéroport, précipitation sur la salle d'embarquement pour être dans les blocs afin de découvrir la bête. Derrière l'immense baie vitrée, (A)________ de le manquer; on ne voit que lui. Son nez qui nous fait face est énorme. Tout le monde se réunit et photographie le géant. Côté piste, on s'affaire autour de lui, on le prépare pour sa traversée de l'Atlantique jusqu'à New York. Dès que le top départ est donné pour l'installation, les 538 passagers se précipitent. Heureusement, l’embarquement est très encadré et se fait avec une rigueur militaire. On prend place sur le pont inférieur, vers le fond de l'avion, du côté droit, à peine assis, on sent et on voit la différence. Le hublot est à la taille de l'appareil et l'espace entre les rangées est plus (B)________ comparé à un Boeing 747. Un écran inséré dans le siège de devant nous réserve un programme d'une centaine de films, de séries télé, et autant d'albums de musique. Une prise USB permet de se connecter et un clavier d'envoyer des mails ou de téléphoner, à condition, bien sûr, d'insérer sa carte bancaire. Autre fonction très intéressante et (C)________ condition, la communication avec un autre siège. En attendant, les portes se ferment, le personnel est souriant et une hôtesse se confie: c'est une première pour les 24 membres de l'équipage qui sont très fiers de voler à bord de 1’A380. Problème: une heure après, on est toujours collé au terminal. On n'arrive pas à décrocher les passerelles d'embarquement. Certains (D)________ s'impatientent. Un mot du commandant nous expliquant les (E)________, et on roule enfin vers la piste. Derrière nous, rangés en file indienne les autres appareils laissent la priorité à la vedette. Ça y est, on est (F)________ position, les réacteurs tournent à fond, le titan se transforme en oiseau léger. Ses ailes blanches, dont la taille atteint la largeur d'un terrain de football, paraissent dans le ciel azur. Et (G)________ qui frappe dès la première seconde du vol c'est le silence. Un silence coupé par les bouchons de champagne qui sautent. Un vol inaugural ça se fête.

Marie-Christine Bessou www.ladepeche.fr

Une nuit dans le train Rodez-Paris pour rallier la plateforme de Roissy Charles-deGaulle qui accueille depuis quelques jours à peine la nouvelle star de l'aviation civile, j'ai nommé l'A380. À l'aéroport, précipitation sur la salle d'embarquement pour être dans les blocs afin de découvrir la bête. Derrière l'immense baie vitrée, (A) ________ de le manquer; on ne voit que lui. Son nez qui nous fait face est énorme. Tout le monde se réunit et photographie le géant. Côté piste, on s'affaire autour de lui, on le prépare pour sa traversée de l'Atlantique jusqu'à New York. Dès que le top départ est donné pour l'installation, les 538 passagers se précipitent. Heureusement, l’embarquement est très encadré et se fait avec une rigueur militaire. On prend place sur le pont inférieur, vers le fond de l'avion, du côté droit, à peine assis, on sent et on voit la différence. Le hublot est à la taille de l'appareil et l'espace entre les rangées est plus (B) ________ comparé à un Boeing 747. Un écran inséré dans le siège de devant nous réserve un programme d'une centaine de films, de séries télé, et autant d'albums de musique. Une prise USB permet de se connecter et un clavier d'envoyer des mails ou de téléphoner, à condition, bien sûr, d'insérer sa carte bancaire. Autre fonction très intéressante et (C) ________ condition, la communication avec un autre siège. En attendant, les portes se ferment, le personnel est souriant et une hôtesse se confie: c'est une première pour les 24 membres de l'équipage qui sont très fiers de voler à bord de 1’A380. Problème: une heure après, on est toujours collé au terminal. On n'arrive pas à décrocher les passerelles d'embarquement. Certains (D) ________ s'impatientent. Un mot du commandant nous expliquant les (E) ________, et on roule enfin vers la piste. Derrière nous, rangés en file indienne les autres appareils laissent la priorité à la vedette. Ça y est, on est (F) ________ position, les réacteurs tournent à fond, le titan se transforme en oiseau léger. Ses ailes blanches, dont la taille atteint la largeur d'un terrain de football, paraissent dans le ciel azur. Et (G) ________ qui frappe dès la première seconde du vol c'est le silence. Un silence coupé par les bouchons de champagne qui sautent. Un vol inaugural ça se fête.

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